14 okt. 2011

Cinq étoiles

La peau que j'habite, 2011, est un drame espagnol de Pedro Almodóvar.
Il est dit que le problème c’est que Pedro Almodovar met en scène ce sujet extraordinaire avec ses obsessions 80’s et l’attitude nonchalante qui définissait ses films. Je ne sais pas, l'attitude nonchalante, c'est son style.
Le même pouvoir a été vu avant.
Le roman le Mygale (adapté du roman de l'écrivain français Thierry Jonquet, Mygale) . Depuis que sa femme est morte carbonisée dans un accident de voiture, le docteur `Ledgard´, éminent chirurgien esthétique, se consacra à la création d'une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse.

Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver ce derme en s'appuyant sur les possibilités qu'offre la thérapie cellulaire. Tout à son but, le docteur ne semble connaître aucune limite étique notamment celle de la transgénèse avec les êtres humains. La suite de l'histoire est un flashback.

Pour moi, la chose importante est qui me plaît confortable à l'intérieur du salle obscure. Par exemple, un de David Lynch, les niveaux sont mélangés de dimension temps dans ses films.
Mais je n'ai pas, je pense souvent, combien la montre est?


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